Premier billet...
Un ciel dégagé, un coucher de soleil orange. C’est devant ce décor que j’écris mon premier billet. Ce ne sont pas des articles, je n’ai pas cette prétention. J’espère un jour que ce sera cependant le cas. J’ai décidé de parler de sujets de société, qui peuvent toucher tout le monde. Chacun a son avis et je le respecte.
Mon premier billet parlera donc de la maladie. Pas des petits bobos de tous les jours mais de celle qui s’installe dans votre vie ou dans celle de vos proches. La plupart des gens se croient immortels tout comme leur entourage. Quand on est heureux, on ne pense pas que notre vie puisse basculer, quel qu’en soit la raison.
Ces maladies sont plus ou moins graves, plus ou moins connues, plus ou moins bien diagnostiquées. Mais elles ont un point commun : on ne s’y attend pas.
Je vais vous parler d’une maladie, le syndrome de fatigue chronique (SFC). Elle fait partie de ce qu’on appelle les maladies orphelines. Donc peu connue, mal diagnostiquée et peu reconnue. En effet, l’organisation mondiale de la santé la reconnait mais pas la France. Les personnes qui ont cette maladie, en France, ne sont donc pas reconnues et ne sont donc pas malades aux yeux de l’Etat.
Cette maladie n’est pas pire qu’une autre. Au contraire. Ma mère me dit souvent « il y a pire. » Ce à quoi on lui répond « mais il y a mieux. »
Les médecins ne connaissent pas l’origine exacte de cette maladie. Il y a eu des études bien sûr mais certaines dérangent. Certains ont avancé l’hypothèse, et ont fait des études en ce sens, que le SFC serait lié au fait que le système immunitaire de certaines personnes ait mal réagi à certains adjuvants présents dans les vaccins. Voilà pourquoi elles dérangent.
Je ne remets pas en cause les vaccins. Non, pas du tout, ils sauvent des vies. Je me pose juste des questions sur la nécessité de certains adjuvants. Sont-ils vraiment nécessaires ? Les firmes pharmaceutiques prennent-elles toutes les précautions nécessaires ?
Un des responsables qui a géré la campagne de vaccination pour le virus H1N1 a un jour participé à une conférence de ma faculté. Il a lui-même reconnu qu’ils avaient dû prendre des vaccins avec des adjuvants alors que ceux-ci n’étaient pas nécessaires. Certes, la campagne a été faite dans l’urgence, mais les firmes n’auraient-elles pas pu proposer des vaccins sans adjuvants ?
Cela aurait peut-être épargné des vies. On nous parle régulièrement du principe de précaution. Ne vaut-il pas aussi pour ces adjuvants dont on connait mal les effets ?
